Infos toute fraiche : « C’est l’assurance de pouvoir se déplacer partout » : ils ont abandonné les transports pour revenir à la voiture

Nous allons porter à votre connaissance ce texte qui vient de paraître, dont la thématique est «voitures de collection».

Son titre séduisant (« C’est l’assurance de pouvoir se déplacer partout » : ils ont abandonné les transports pour revenir à la voiture) résume tout le post.

Identifié sous la signature «d’anonymat
», le rédacteur est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur internet.

Il n’y a aucune raison de ne pas croire du sérieux de ces informations.

Le texte a été édité à une date notée 2023-11-27 00:03:00.

L’article mentionné :

Le constat est clair : les transports en commun sont de plus en plus fréquentés en Provence. En 2022, la Régie des transports Métropolitains (RTM) a enregistré une hausse de 14% de voyages validés, par rapport à 2021. En 2023, les TER de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur ont enregistré 15% de passagers en plus par rapport à 2022, et 20% par rapport à 2019. Pourtant, certains Provençaux font le chemin inverse. Déçus par les transports collectifs, ils retournent à un moyen de déplacement individuel.

« Pour aller de mon domicile du boulevard Baille à mon travail au parc Borély, j’ai jeté l’éponge avec les transports », confie notamment Denise. Cette habitante de Marseille devait emprunter le métro, puis la ligne de bus 19. « Il ne s’arrêtait pas aux arrêts, il était bondé. Et il ne roulait pas sur le Prado 2 de mai à septembre. Je mettais 40 minutes pour faire quatre kilomètres. Au bout d’un moment, j’ai repris ma voiture. Je mets 25 minutes, je n’ai pas d’escaliers à monter, et je pars quand je veux. »

Même son de cloche pour Catherine, une habitante d’Aubagne qui dit avoir « abandonné le TER Aubagne-Marseille ». Non pas pour la voiture, mais pour un scooter à trois roues. « Je le prends quel que soit le temps, tous les jours, pour me rendre à mon travail », avoue-t-elle. « Et maintenant, j’abandonne tram et métro à Marseille. Avoir un tram toutes les 15 minutes entre midi et deux, c’est scandaleux. »

Des horaires « pas étudiés pour les correspondances »

Travaillant entre la cité phocéenne et la Duranne à Aix-en-Provence, Jonathan, 27 ans, habite proche d’arrêts du tramway et du métro. Il dit aussi « disposer d’un abonnement entièrement financé » par son employeur. Pourtant, la moitié du temps, il préfère prendre sa voiture.

Ce chef de projet informatique déplore « l’insuffisance de l’offre », « l’impossibilité d’avoir une vie après le travail » car « il est très difficile de se déplacer après 21 h », et le « manque de cohérence entre les réseaux ». « Les horaires ne sont pas étudiés pour assurer les correspondances entre les différents services. Il y a des cars Aix-Marseille jusqu’à minuit, mais à Aix, hormis l’Aixpress, aucun bus ne circule après 21 h, donc quelqu’un qui n’habite pas le centre ne pourra regagner son domicile. »

« Je voulais me débarrasser définitivement des transports »

Pour Jonathan, la voiture offre « l’assurance de pouvoir se déplacer partout, et à toute heure ». L’idée semble partagée par Anne, qui a fini par quitter Marseille, jugeant la ville « trop désagréable ». Ancienne utilisatrice des transports en commun locaux, elle s’est même expatriée dans un pays où elle peut se déplacer « à 100% en voiture. » « Je voulais me débarrasser définitivement des transports, je trouve ça trop pénible », lance-t-elle tout de go.

En novembre, le baromètre Alphabet réalisé par l’Ifop montre que pour 82% des actifs méditerranéens, la voiture individuelle reste le moyen de transport privilégié, lors des trajets domicile-travail.

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