A lire, ce post sur internet dont la thématique est « voitures de collection » et qui va vous plaire.
Son titre (C’est l’heure du Mans Classic !) est évocateur.
Sachez que l’écrivain (présenté sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
La confiance est donc parfaite concernant cet article.
La date d’édition est 2022-06-27 02:46:00.
L’article original en question :
Enfin ! Cela fait quatre longues années que les amateurs de sport mécanique vintage attendaient ce moment : créé en 2002 et organisé tous les deux ans par Peter Auto, Le Mans Classic aurait dû connaître sa 10e édition en juillet 2020. Mais la crise sanitaire est passée par là, entraînant des reports successifs de l’épreuve. Cette fois, c’est sûr, l’événement va se dérouler dans quelques jours, du 30 juin au 3 juillet. Sont attendues plus de 700 voitures de course ayant par le passé brillé lors des 24 Heures du Mans, 8 500 automobiles de collection et des centaines de milliers de spectateurs. Cette édition qui marquera le 20e anniversaire de la compétition possède d’ores et déjà tous les ingrédients pour s’inscrire dans les mémoires.
Concerto mécanique
Pour qui vénère les silhouettes automobiles suggestives et les symphonies pour moteurs en mode rageur, Le Mans Classic est le rendez-vous à cocher en priorité sur son agenda. D’autant plus que le programme concocté cette année par Peter Auto a de quoi émouvoir les amateurs. Citons en particulier la série Endurance Racing Legends réunissant des GT et des prototypes des années 1990-2000 et l’anniversaire des 40 ans de la création du Groupe C, symbolisé par la mythique Porsche 956. Selon les spécialistes et les puristes, les courses du Groupe C représentent l’âge d’or de l’Endurance. On pourra en avoir la confirmation ce week-end avec la présence annoncée d’une cinquantaine de bolides sur la grille de départ. Parmi elles, on retrouvera la Mazda 787B, victorieuse des 24 Heures du Mans 1991. Première voiture japonaise à avoir gagné l’épreuve, elle est entrée dans la légende grâce à son moteur rotatif. Son hurlement à près de 9 000 tr/min dans la ligne droite des Hunaudières a marqué tous ceux qui ont vu (et entendu) rouler cette Mazda il y a plus de 30 ans.
Une montre Richard Mille dédiée au Mans Classic
Le Mans Classic, Endurance, Formule 1, Formule E, rallye des Princesses, concours Chantilly Arts & Élégance, la maison Richard Mille est omniprésente dans l’univers automobile. On l’a encore vu le 11 juin dernier avec la participation aux 24 Heures du Mans d’un prototype LMP2 engagé dans le championnat du monde FIA WEC sous les couleurs du Richard Mille Racing Team. Associé aux jeunes Charles Miles et Lilou Wadoux (21 ans !), l’octuple champion du monde des rallyes Sébastien Ogier a pris la 9e place de sa catégorie (13e au classement général), avant de retourner sur ses terres de prédilection, le rallye. Pour la suite de la saison, on vient d’ailleurs d’apprendre l’arrivée au sein de l’équipage du Richard Mille Racing Team du talentueux et expérimenté Paul-Loup Chatin. Pour marquer sa fidélité au Mans Classic, dont il est partenaire depuis la première édition, Richard Mille propose une édition limitée RM 029 Automatique aux couleurs de l’épreuve (le blanc et le vert). Abrité au cœur d’un boîtier en Quartz TPT, son mouvement squeletté doté d’un rotor à géométrie variable offre, comme il se doit, un affichage 24 heures, dans un environnement esthétique évidemment très racing.
Une F1 victorieuse au Mans
Si les Ford GT 40, AC Cobra et autres Porsche 911 sont des habituées du Mans Classic, nombre de modèles constituent des raretés à redécouvrir. Il en est ainsi de la Talbot-Lago T26 Grand Sport. Conçue pour la Formule 1 il y a sept décennies, elle fut modifiée pour participer aux 24 Heures du Mans et reste à ce jour la seule monoplace de Grand Prix à avoir remporté l’épreuve mancelle, en 1950, pilotée par Louis Rosier et son fils Jean-Louis. À voir et à admirer, plus que jamais, la Jaguar D-Type connue notamment pour avoir gagné la dramatique édition des 24 Heures du Mans de 1955. On notera la présence cette année au Mans Classic d’une Ferrari 312 P de 1969 (capable de rouler à 320 km/h grâce à son V12), dont il ne reste que deux exemplaires dans le monde. Souvenirs, encore, avec la Chevrolet Camaro IMSA GTO de 1981 dotée d’une carrosserie spectaculaire. Ou avec la Peugeot 905 Evo 1 bis de 1992. « C’est un vrai rêve de gosse que de la conduire. Le son du moteur, l’aérodynamisme, tout est incroyable ! Elle est restée 100 % d’origine et aucune modification n’a été effectuée », explique son propriétaire depuis six ans, Erik Maris. Ce week-end, n’allez pas croire qu’il traitera sa voiture comme une pièce de musée : « Afin de réellement apprécier les qualités techniques de ce prototype, il faut le conduire vite. Il doit être amené jusqu’à ses limites techniques. À défaut d’une conduite adaptée, les pneus et les freins ne chaufferont pas et on passerait à côté de l’essence même d’une Peugeot 905 Évolution bis. » Voilà qui promet…
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