Sur le web : La technologie Ultium sur la Lune?

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Batterie Ultium de General Motors

Batterie Ultium de General Motors | Photo: General Motors

La technologie Ultium de General Motors pourrait bien se retrouver sur la Lune. En effet, le constructeur américain collabore avec la firme Lockheed pour la conception d’un nouveau véhicule lunaire qui sera utilisé dans le cadre des prochaines missions sur le satellite terrestre.

Et la même quincaillerie qui se retrouve à bord des plus récentes créations de GM pourrait bien faire le voyage dans l’espace. Pour l’instant, la NASA n’a pas fait son choix – plusieurs soumissionnaires cherchent à obtenir le lucratif contrat –, mais il est clair que ce véhicule sera une pièce importante de ces futures missions lunaires que la NASA a baptisée Artemis.

Rappelons qu’en 1971, GM avait été sélectionné pour le véhicule lunaire, le constructeur qui avait travaillé avec la firme Boeing à l’époque pour les missions Apollo. Les ingénieurs affectés au projet Artemis ont d’ailleurs étudié le travail accompli il y a plus de cinquante ans. En fait, l’équipe a simulé le véhicule lunaire des années 70 dans un environnement lunaire pour dessiner la nouvelle version par-dessus le prédécesseur.

Ce véhicule lunaire doit être en mesure de durer une dizaine d’années et de servir pour plusieurs missions. De plus, le rover de la NASA doit également jongler avec une température qui oscille entre -162 °C et -173°C, en plus d’être plongé dans le noir complet pendant 14 jours, avant d’être ensoleillé pour les 14 jours suivants. La gravité est également un facteur à prendre en considération, elle qui équivaut à un sixième de celle sur Terre. Le rover lunaire devra aussi résister à une conduite en terrain accidenté, notamment de la poussière lunaire très abrasive, mais aussi des cratères et des blocs rocheux.

La capacité de franchissement du Hummer EV fait aussi partie intégrante du rover lunaire. Là où GM nage dans l’inconnu, c’est sur la durabilité du bloc de batteries, les ingénieurs qui se préparent à pousser la technologie pour mieux comprendre comment contrôler celles-ci dans un environnement hostile comme la Lune. En revanche, cette recherche pourrait s’avérer bénéfique pour les futurs véhicules électriques de la marque.

De plus, la recherche et le développement pour le prochain rover lunaire pourrait même faire avancer la technologie de conduite autonome sur Terre, GM qui aurait l’intention de « créer » la carte de navigation à mesure que le véhicule avance, contrairement à la manière dont les systèmes de navigation de conduite assistée fonctionnent sur Terre qui se base sur des cartes préétablies.

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