Ceci se propage sur internet : 60 bougies et 300 voitures anciennes ce week-end

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A relever, ce papier sur internet dont la thématique est « voitures de collection » et qui va vous ravir.

Le titre (60 bougies et 300 voitures anciennes ce week-end) parle de lui-même.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», l’éditorialiste est connu et fiable.

Les infos divulguées sont par conséquent réputées crédibles.

Texte dont il s’agit :

Le circuit automobile d’Albi fête ce week-end ses 60 bougies. Pour l’occasion, 300 voitures de courses anciennes sont exposées dont les célèbres MEP de Citroën, des monoplaces fabriquées à Albi.

Cette année, le Circuit d’Albi fête son 60ème anniversaire avec la  sixième édition du Weekend Retro. Une collection de 300 voitures de courses anciennes et 4 000 passionnés sont attendus.

Les paddocks du circuit seront très animés avec beaucoup d’attractions et la possibilité de faire chauffer les vieux moteurs.

Sur la commune du Séquestre dans le Tarn, ils seront nombreux à vouloir monter -voire même conduire- les voitures qui ont fait rêver les passionnés d’automobiles des années 70 à 2000.

« C’est l’occasion toute cette année de célébrer les 60 ans du circuit d’Albi, confie Grégor Raymondis, directeur du circuit. C’est la première grosse manifestation ce week-end avec des véhicules prestigieux. »

Il y a notamment les fameuses MEP de Citroën fabriquées à Albi par Maurice Emile Pezous (MEP). Cet Albigeois descendant de La Pérouse est un passionné d’automobile depuis son plus jeune âge. Les premières MEP sortirons entre 1953 et 1956. Un an plus tard, il devient concessionnaire Citroën à Albi.

Son idée : construire des monoplaces abordables pour permettre notamment aux jeunes de s’initier à la course automobile. Des années de recherche, de travail et de persévérance pour aboutir à ces petits bijoux exposés durant ce week-end à Albi. 

Christophe Grison pilote des MEP depuis une dizaine d’année. Il est venu de l’Oise pour marquer cet événement. « Je reviens tous les ans sur le circuit avec ma voiture qui a été fabriquée à quelques mètres d’ici ! Maurice Emile Pezous avait créé la Formule bleu pour permettre à des jeunes pilotes de s’initier et de démarrer une carrière complète. C’est comme un petit karting, c’est très léger (moins de 400 kg) avec un petit moteur (80 ch) mais les plus pilotes les plus performants roulent à plus de 200 km/h. On est toute une équipe de passionnés. On se prête des pièces détachées, on s’entraide. On est toute une bande de copains qui ne loupent pas cet événement. Et pourtant je suis agriculteur et je dois faire plus de 9h de voiture pour venir ici. »

Pour Christophe Grison et tous les fondus d’automobiles, plusieurs plateaux sont proposés dont celui des monoplaces des années 1970 à 1990, mais aussi un plateau spécifique composé d’anciennes Formule 1 (de 1966 à 1981). Des prototypes des 24H du Mans sont aussi dans les paddocks.

Le circuit d’Albi, sur la commune du Séquestre, a vu le jour en 1962. Mais les grands-prix d’Albi remontent bien plus loin : en 1933 sur le circuit des Planques qui était sur un tracer routier puis sur le circuit Raymond Sommer à partir de 1952. En 1960, le circuit est interdit aux véhicules trop puissants dépassant les 250 km/h car jugé trop dangereux après plusieurs accidents.

L’une des premières icones de l’époque, c’est Louis Rosier, pilote fameux des années 50. Sa petite fille Elodie a dépoussiéré l’armoire à trophées. « C’était le circuit des Planques, l’après guerre. Mon grand-père est celui qui a remporté le plus de grands prix, 4 exactement. Il a aussi gagné les 24h du mans en 1950. ll est décédé en 1956 suite à son accident sur le circuit de Montlhéry. Nous avons un projet de musée pour raconter toute son histoire. Il était ami avec Juan Manuel Fangio. Il a couru plusieurs fois en Argentine. »

En 1960, l’idée de créer un nouveau circuit autour de l’aérodrome d’Albi voit le jour, validé par le conseil municipal.  Les travaux dureront 2 ans (1961-1962). Une piste de 3 636 m et une capacité de 5 000 places assises et 10 000 possibles sur les buttes. 

« C’est un circuit qui est très important en France et depuis longtemps, assure Grégor Raymondis, car c’est le circuit permanent le plus ancien de France encore en activité »

Le tracer est quasiment le même qu’il y a 60 ans, modifié simplement pour des questions de sécurité en agrandissant les échappatoires et en rajoutant des chicanes pour réduire la sécurité. « C’est un circuit d’attaque avec beaucoup de lignes droites et de gros freinages. C’est un circuit très sympa en compétition. »

Grégor Raymondis et le circuit d’Albi fêteront aussi cette année les 78 ans des grands prix d’Albi.

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