Relecture de l’éditorial : Aude : chassés de leur domicile par les punaises de lit, et obligés de dormir dans leur voiture

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Fidèle à sa mission, ce site va porter à votre connaissance un encart assez complet qui a été vu sur internet. Le propos est «voitures de collection».

Son titre suggestif (Aude : chassés de leur domicile par les punaises de lit, et obligés de dormir dans leur voiture) en dit long.

L’éditorialiste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est positivement connu.

Les informations divulguées sont en conséquence jugées véridiques.

Le post a été divulgué à une date mentionnée 2022-06-21 10:03:00.

L’article original :

l’essentiel
Depuis la nuit de dimanche à lundi, l’appartement occupé par Marie-Lise Douglas et ses quatre enfants, dans une résidence HLM de Port-Leucate, est devenu inhabitable, envahi de punaises de lit. Après avoir vidé une partie du mobilier, infesté par les petits insectes, puis tenté un nouveau nettoyage en profondeur, la mère de famille a cherché à se reloger provisoirement, mais sans résultat. Le bailleur social fait la sourde oreille. Le petit collectif d’appartements, qui doit être rénové prochainement, a déjà connu des infestations de punaises de lits. Des logements ont dû être traités.

Après deux nuits sans sommeil, dont une nuit passée dans sa voiture avec trois de ses quatre enfants, Marie-Lise Douglas, mère de famille arrivée de Guadeloupe en 2014, commence à être dévorée… par la fatigue. Les coups de fil au bailleur social, la société audoise Alogéa, à son avocate, à l’avocat de son assurance habitation, aux services sociaux, à la mairie de Leucate l’ont mobilisée pendant 48 heures. Sans parler des allers-retours chez le médecin,à la pharmacie, à l’école pour aller chercher les deux petites de la famille, Maïlys et Jasmine, âgées de 10 et 4 ans. Des efforts en continu, mais sans résultat: « Je m’inquiète à l’idée de devoir passer une seconde nuit dans la voiture », confie Hanaëlle,  19 ans,l’aînée des quatre enfants.

Pour commencer, un coup de cœur

Lundi, la petite famille a donc été contrainte de quitter son appartement situé dans une petite résidence HLM de Port-Leucate, située à quelques dizaines de mètres de la plage, en deuxième rideau. Marie-Lise Douglas avait eu un coup de cœur pour la petite station balnéaire audoise, et pour ce petit collectif de quatre étages, idéalement situé, tout près de l’école primaire, d’un joli parc de jeux pour enfants, et tout près de la plage, mais aussi de l’institut de formation où la jeune femme suit une formation d’assistante à la personne. En découvrant l’appartement, au mois d’août dernier, Marie-Lise Douglas avait déjà eu un petit sursaut de déception. Assez ancien, le petit immeuble a bien besoin d’un coup de jeune. Les traces d’humidité, les portes qui ferment mal, l’isolation défaillante avaient bien failli la décourager.

La résidence, située à Port-Leucate, en deuxième rideau par rapport à la plage, doit être rénovée d'ici un an environ.
La résidence, située à Port-Leucate, en deuxième rideau par rapport à la plage, doit être rénovée d’ici un an environ.

« Tout le monde se renvoie la balle »

Là, ce sont donc les punaises de lit qui l’ont chassée de chez elle. Une invasion brutale, après quelques alertes, des piqûres qu’elle avait attribuées à des attaques de moustiques. Puis, elle a fini par identifier les punaises de lit sur internet, après quelques recherches. Et avant de s’apercevoir que les insectes avaient colonisé son logement, pourtant bien tenu et très propre. 

 « J’ai passé la nuit de dimanche à lundi sur une chaise, sur mon balcon, résume-t-elle. Il ne restait qu’un matelas encore utilisable. Et, le matin, ma fille était couverte de punaises de lit ». La mère de famille a donc choisi de quitter son domicile, mais n’a aucune solution de relogement. « Je n’ai pas de famille et pas d’amis dans l’Aude, regrette-t-elle. Je n’ai pas de solutions de repli. Les services sociaux, le 115, Alogéa… Tout le monde se renvoie la balle ». 

Ce mardi, en fin d’après-midi, la petite famille était toujours sans nouvelle d’une possible solution. Sur un parking de Port-Leucate, Marie-Lise et ses enfants s’apprêtaient à passer une seconde nuit dans leur voiture. Seul son fils, Noah, 17 ans, avait tenté de rester dans l’appartement la nuit précédente, se réveillant couvert de piqûres.

Contactée par « La Dépêche du Midi », la société Alogéa n’a pas souhaité faire de commentaires sur ce dossier. Nos colonnes lui sont évidemment ouvertes.

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