A noter, ce papier sur internet dont le thème est « voitures de collection » et qui va vous plaire.
Son titre (« Si je devais ne garder qu’une voiture, ce serait la Chevrolet Corvette C6 ZR1 Centennial Edition ») est parlant.
Le chroniqueur (identifié sous le nom d’anonymat
) est positivement connu.
Il n’y a pas de raison de douter de la fiabilité de ces révélations.
Le post a été divulgué à une date mentionnée 2023-11-19 22:00:00.
Danny Straetmans a onze Corvette, mais s’il devait n’en garder qu’une, ce serait la Chevrolet Corvette C6 ZR1 Centennial Edition de 2012.
« La douzième est commandée! », s’exclame Danny Straetmans (60 ans). « Une Corvette C8 Z06 flambant neuve, une des premières en Europe. Les versions rapides arrivent toujours un peu plus tard. La Stingray de base était déjà disponible. Ce nom, qui signifie ‘raie pastenague’, a été choisi pour la première fois en 1963, car les lignes de la Corvette de l’époque faisaient penser à ce poisson. »
Pour célébrer le septantième anniversaire de la Chevrolet Corvette, Autoworld a organisé l’été dernier une fabuleuse exposition, pour laquelle Straetmans a fourni quelques voitures. En attendant sa dernière acquisition, il possède un exemplaire de chacune des générations précédentes: C1 cabriolet (1954, 1959), C2 cabriolet (1966), C3 coupé (1970) et cabriolet (1971), C4 coupé (1984, 1988, 1990), C5 50th Anniversary (2003), C6 Centennial Edition (2012) et C7 cabriolet (2015).
« Il y a une trentaine d’années, j’ai rencontré un client dont le fils possédait une Corvette C3 », explique-t-il. « Le son! Et l’allure! Ce fut le coup de foudre: ma première a été cette C3 (1970) et, trois ans plus tard, la C5 Cabriolet 50th Anniversary (2003). Elle n’était disponible que dans cette version: bordeaux, cuir blanc et jantes champagne. C’est la seule en Belgique. Être le seul à posséder quelque chose, j’aime ça! »
« C’est un vrai fan! », s’amuse Christine, son épouse. « Au début des années 50, il y a eu un afflux de voitures de sport anglaises aux États-Unis », poursuit Straetmans. « L’Amérique devait avoir la sienne, construite aux USA. En 1951, a été lancé le Project Opel sous l’impulsion de Harley Earl, le parrain du design automobile américain. Ce qui a donné une carrosserie en fibre de verre compacte – selon les normes américaines –, si légère qu’on pouvait la soulever d’une main. Le long capot et les formes sculpturales ont été accueillis avec enthousiasme et, en 1953, les trois cent premières Corvette ont été construites à la main. Cette carrosserie était révolutionnaire, mais pour le reste, la voiture était un assemblage de pièces provenant d’autres Chevrolet. Sur le plan du moteur, elle n’a pas répondu aux attentes. »
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