A relever, ce post sur le web dont le propos est « voitures de collection » et qui est susceptible de vous réjouir.
Son titre troublant (Des Méhari ont disparu près de Perpignan : qui a volé ces voitures historiques ?) en dit long.
L’éditorialiste (annoncé sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur le web.
Ce papier peut par conséquent être pris au sérieux.
L’éditorial a été édité à une date notée 2023-07-25 08:40:00.
L’article dont il s’agit :
Publié le 25 Juil 23 à 15:40
Dans le petit monde des voitures de collection, les Méhari sont particulièrement prisées. Parfois même un peu trop. Ces dernières semaines, plusieurs de ces véhicules historiques, conçus dès la fin des années 60 par Citroën, ont été déclarés volés dans les Pyrénées-Orientales, a appris Actu Perpignan.
Plusieurs Méhari volées dans les Pyrénées-Orientales
Contacté par notre rédaction, le groupement de gendarmerie des P.-O. confirme l’information. En l’espace de quelques jours seulement, au moins trois voitures Méhari ont disparu autour de Perpignan. Deux plaintes ont été déposées sur la commune du Barcarès, une troisième à Sainte-Marie-la-Mer.
« Un quatrième vol se serait aussi produit vers Canet-en-Roussillon », ajoute Nicolas Bousquet, organisateur du Rassemblement de véhicules anciens du 66, également joint par Actu Perpignan. Une enquête a été ouverte, mais pour l’heure, les premières investigations n’ont mené nulle part.
Des voitures cotées jusqu’à 32 000 euros
Mais alors, comment expliquer ces vols successifs dans les Pyrénées-Orientales ? « Ce n’est pas nouveau, il arrive fréquemment que des voitures de collection fassent l’objet de convoitises », poursuit Nicolas Bousquet. Et la Citroën Méhari en fait malheureusement partie.
« C’est un véhicule de collection à la mode en ce moment. C’est l’été, c’est une voiture qui a une forme sympathique et qui est agréable pour rouler dans nos régions », poursuit le spécialiste. La valeur d’une Citroën Méhari est aujourd’hui comprise entre 14 000 euros, pour le modèle 2 places, et 32 000 euros pour le modèle 4×4, de quoi attirer des individus peu scrupuleux.
« Vu la période, je pense que ceux qui ont volé les voitures sont remontés vers le nord de la France, du moins au-delà de Salses-le-Château, dans le but de les revendre et de faire de la spéculation », regrette Nicolas Bousquet, qui, sur les réseaux sociaux, sensibilise sa communauté face à la recrudescence des vols ces derniers temps.
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