Je vais faire la lumière sur ce post qui vient de paraître, dont la thématique est «voitures de collection».
Le titre suggestif (Peter Sagan, une promesse pas encore tenue chez TotalEnergie) est parlant.
Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu pour d’autres encarts qu’il a publiés sur le web.
Les infos éditées sont donc jugées valides.
L’éditorial a été édité à une date notée 2022-07-02 13:37:00.
Voici lle « papier » en question :
Il n’y aurait pourtant pas eu grand chose à célébrer. Sagan n’a remporté aucun des sprints du jour : devancé par Ewan et Van Aert à l’intermédiaire, il a surtout été battu par cinq concurrents à l’arrivée, après avoir évité la chute de peu. « Les 500 derniers mètres ont été fous. J’étais proche de Jakobsen. Quand j’ai commencé mon sprint, il m’a un peu tassé mais c’est normal. J’ai fait de mon mieux. Je suis heureux d’être resté sur mon vélo et de ne pas avoir fini sur la route », expliquait-il dans un sourire.
Jackpot espéré
Il devra attendre encore un peu pour glaner une treizième victoire d’étape sur le Tour, dont il a remporté le maillot vert à sept reprises, record absolu. Le jour où cela arrivera, Jean-René Bergaudeau sera sans doute le plus heureux des hommes. « Ce sera le jackpot ! », claironne-t-il.
En quête d’un succès sur la Grande Boucle depuis 2017, le patron de TotalEnergies a abattu « beaucoup de travail » pour convaincre le triple champion du monde (2015, 2016 et 2017) de le rejoindre. « Il voulait changer d’équipe, il ne s’épanouissait plus chez Bora. Il voulait une équipe qui lui ressemble. Roberto Amadio, son premier manager, lui a dit : ‘avec Bernaudeau, tu seras heureux’. Qu’il signe chez nous est un gros coup, une belle récompense ».
Mélange culturel
Il a fallu sortir le carnet de chèques bien sûr, et accepter un petit chambardement. Deux anciens coéquipiers chez Bora (Daniel Oss et Matej Bodnar, présents sur le Tour), son frère Juraj, son mécano, son masseur, son directeur sportif et son attaché de presse ont rejoint l’équipe française. Sans oublier la marque de cycles Specialized, considérée comme la référence dans le peloton. Outre des bouquets de vainqueur, TotalEnergies se paye aussi une image et une réputation qui lui servent pour être invitée sur les épreuves World Tour, dont elle ne possède pas la licence.
« Il a apporté beaucoup de choses qui bénéficient à l’ensemble de l’équipe, son professionnalisme, du très bon matériel et ça tire tout le monde vers le haut », assure Mathieu Burgaudeau. Son patron enchaîne : « Il amène aussi de la fierté et une certaine insouciance. Son groupe a provoqué un bon mélange culturel. Il m’a d’ailleurs dit le groupe Peter n’existe plus, c’est le groupe TotalEnergies. »
« De plus en plus fort »
Pour l’instant, l’histoire est un peu moins belle au niveau des résultats. Pendant des mois, sa saison a ressemblé à un chemin de croix. Dans son équipe, on assure que sa contamination au Covid en janvier l’a plombé et lui faisait dire qu’il n’avait « pas de jambes ». Son stage de quatre semaines aux États-Unis fin mai semble l’avoir remis sur les bons rails avec une victoire au Tour de Suisse et un titre de champion de Slovaquie (presque une formalité pour lui).
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« Je suis revenu et j’ai directement gagné. Maintenant, je suis là. Vous verrez de quoi je suis capable », assène-t-il. Son fidèle directeur sportif, Jan Valach, jure qu’il « est de plus en plus fort de jour en jour ». Une confiance et un storytelling qui ne balaient pas tout à fait l’idée qu’à 32 ans, Sagan a sans doute laissé ses grandes heures derrière lui. « Ce n’est pas une question de physiologie mais d’envie. Il est en pleine possession de ses moyens et a encore deux-trois très bonnes années devant lui. »
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