Dernière actualité pour vous : catastrophe écologique en vue dans le Pacifique ?

Dans le cadre de notre fonction de vous informer, nous publions ci-dessous un papier vu sur internet ce jour. Le propos est «voitures de collection».

Son titre troublant (catastrophe écologique en vue dans le Pacifique ?) est évocateur.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», l’éditorialiste est connu et fiable pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur le web.

Il n’y a pas de raison de douter du sérieux de ces informations.

Le papier a été divulgué à une date notée 2023-04-26 13:00:00.

Voici ll’article en question :

L’océan Pacifique est à deux doigts d’une catastrophe écologique. En cause, l’extraction de matériaux servant à fabriquer les batteries d’une voiture électrique.

Une récente enquête a été menée par le magazine américain Wired. Celle-ci s’est concentrée sur l’exploitation des ressources afin de construire les batteries des voitures électriques. 

D’après l’enquête, une société minière canadienne serait en train de se préparer à creuser dans le Pacifique. Cette opération serait possible grâce à un vide juridique des traités internationaux. 

Un marché qui repousse les limites 

Un des points négatifs des voitures électriques se situe au niveau de la production des batteries de voitures électriques. 

En effet, celle-ci demande énormément en matières premières, ce qui n’aide pas d’un point de vue écologique. 

Avec un contexte mondial qui pousse les automobilistes à investir dans la voiture électrique, cela oblige les entreprises à aller plus loin en termes de production, quitte à aller trop loin. 

Malheureusement, c’est ce que le magazine américain Wired a relayé récemment à la suite d’une enquête. 

Le fond du problème ? L’entreprise The Metals Company qui va extraire du nickel, du manganèse, du cobalt et du cuivre au fin fond de l’océan Pacifique. 

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Un vide juridique incroyable 

Cette décision est, à la surprise générale, totalement légale. En effet, le média américain a trouvé un vide juridique. 

Si l’on regarde en détail, la loi indique qu’un Etat qui signe le traité peut faire une demande d’exploitation dans les eaux internationales. Dans ce cas, l’autorité de régulation a 2 ans pour se prononcer de façon argumentée. 

Sauf que jusqu’à la remise des conclusions des autorités, l’exploitation est provisoirement autorisée. 

L’Etat en question ayant fait la demande s’appelle Nauru, une île micro-Etat d’Océanie. Cette demande remonde à 2021. 

The Metals Company, actionnaire principal de la société minière nationale de ce micro-Etat a donc la possibilité d’aller extraire les matériaux dans l’océan. 

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Un éco-système en danger 

Les conséquences écologiques des actions qui vont découler de cette extraction seront désastreuses pour l’environnement.  

L’éco-système de l’océan Pacifique risque d’être endommagé, tout comme sa faculté à absorber le CO2. 

Cerise sur le gâteau, The Metals Company va utiliser des anciens navires de forages pour extraire les matériaux. Et évidemment, ces engins fonctionnent avec des carburants nocifs pour l’environnement. Voilà de quoi faire réfléchir sur le marché de la voiture électrique et son impact écologique. 

Bibliographie :

La Matra 530 de mon père.,Ouvrage .

100 ans Maserati.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

ASTON MARTIN, alliance du sport….,Ouvrage Recommnandé par la presse.

La Peugeot 406 coupé De mon père.,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.