Dernière actu toute fraiche : « Avec Mélenchon, c’est la guillotine fiscale »

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Nos rédacteurs ont remarqué un texte sur internet dont la thématique est «voitures de collection».

Son titre (« Avec Mélenchon, c’est la guillotine fiscale ») est évocateur.

Présenté sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable.

Les infos communiquées sont ainsi présumées valides.

Gabriel Attal, ministre délégué chargé des Comptes publics dans le gouvernement d'Elisabeth Borne, photographié au ministère de l'Économie, le 7 juin 2022. Gabriel Attal, ministre délégué chargé des Comptes publics dans le gouvernement d'Elisabeth Borne, photographié au ministère de l'Économie, le 7 juin 2022.

Ancien porte-parole du gouvernement, tout juste nommé ministre délégué aux comptes publics, Gabriel Attal défend les mesures du gouvernement en matière de pouvoir d’achat. Et cible le chef de file de l’alliance de gauche, Jean-Luc Mélenchon, avant les élections législatives des 12 et 19 juin.

Emmanuel Macron est discret sur la scène nationale depuis sa réélection. Où est l’élan réformateur ?

Contrairement à d’autres époques, le chef de l’Etat n’est pas concentré à détricoter ce qui a été fait par son prédécesseur. C’est heureux pour le pays, qui a besoin de stabilité. Le gouvernement est pleinement au travail sur des textes prioritaires, qui vont être présentés dans les prochaines semaines. Avec [le ministre de l’économie] Bruno Le Maire, nous sommes concentrés sur la poursuite de la protection des Français, notamment face à l’inflation. Le président est à la manœuvre ! Il s’est déjà engagé sur les grands chantiers que sont la santé et l’école, et sur le lancement du conseil national de la refondation. Il a aussi réaffirmé son intention de mener la réforme des retraites, qui entrera en vigueur en juillet 2023.

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Pourquoi si tard, alors qu’elle devait voir le jour dès le début de son quinquennat ?

Il a toujours été prévu que cette réforme entre en vigueur en 2023. Elle est essentielle pour financer nos grandes priorités de progrès social (protection sociale, accompagnement des personnes âgées en perte d’autonomie) sans impôts ni dette supplémentaire. La logique de justice n’a pas changé : nous devons travailler plus longtemps, globalement, en tenant compte de la pénibilité et des carrières longues. Il y aura un recul progressif de l’âge légal de départ à la retraite. C’est sur cette base que vont s’entamer les discussions avec les partenaires sociaux. Un texte de loi sera préparé dans les prochains mois.

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A court terme, le budget 2023 sera largement placé sous le signe de la dépense… Le « quoi qu’il en coûte » continue donc ?

Lors de la crise du Covid, le « quoi qu’il en coûte » a permis à notre économie de repartir plus vite et plus fort qu’ailleurs. Nous avons mis fin progressivement à ce dispositif en 2021 mais nous gardons une politique de protection forte des Français face à l’inflation. Bouclier tarifaire sur le gaz et l’électricité, remise carburant, revalorisation du barème kilométrique… En 2022, ces mesures permettront à chaque ménage d’économiser en moyenne 510 euros.

Quelles sont les prochaines mesures en matière de pouvoir d’achat ?

Nous nous engageons avec des actions concrètes et fortes comme la suppression de la contribution à l’audiovisuel public, la prime de pouvoir d’achat portée jusqu’à 6 000 euros, la revalorisation des retraites et des prestations sociales pour tenir compte de l’inflation, des allègements de charges pour les indépendants ou encore la remise carburant, qui sera prolongée en août. A l’automne, nous mettrons en place un dispositif plus ciblé sur les gros rouleurs, pour accompagner massivement ceux qui n’ont pas d’autres choix que d’utiliser leur véhicule pour aller travailler. Par ailleurs, comme l’a annoncé Elisabeth Borne, une aide exceptionnelle pour les plus modestes sera versée à la rentrée, avant la mise en place d’un chèque alimentaire. C’est la plus forte politique de pouvoir d’achat depuis l’après-guerre.

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