Voici l’essentiel d’un post que notre équipe vient de voir sur internet. Le thème va véritablement vous séduire. Car la thématique est « voitures anciennes ».
Le titre saisissant (une centaine de voitures de prestige et de collection à la queue leu leu) en dit long.
Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur le web.
Le texte peut en conséquence être pris au sérieux.
Sachez que la date de publication est 2022-07-01 05:25:00.
L’article d’origine mentionné :
Lui-même va sortir ses deux Jaguar du garage. La plus ancienne, qui a soufflé ses 25 bougies, fera office de voiture-balai pendant le défilé. La plus récente, qui n’a que deux ans, ouvrira le cortège. Avant de faire vrombir les moteurs, les voitures seront donc stationnées toute la matinée sur le site de la Tache-Verte. L’occasion de faire les yeux doux à la Cadillac de 1959 exposée par Jean-Paul Bruand. Une vraie Américaine que l’intéressé a achetée à côté d’Eurodisney il y a vingt-huit ans lorsqu’il habitait dans le Loiret. Un des 11 130 exemplaires sortis d’usine.
S. D.
Avec sa consommation de 20 litres aux 100, il est cependant conseillé de ne pas trop en abuser. Surtout en ce moment. « À l’époque, ce n’était pas un souci », fait remarquer son propriétaire qui parle « d’un véritable bateau avec un vrai confort. » Les chromes rutilants prouvent en tout cas que la belle est bichonnée. Habitué des rassemblements avec son club US Motors de La Rochelle, notamment celui du deuxième dimanche de chaque mois sur le parking de Gifi dans la zone commerciale de Royan 2, Jean-Paul Bruand loue la convivialité de ce type de réunion.
Rendez-vous de passionnés
Et si certains prennent cette passion pour de la frime, le conducteur de la Cadillac monte dans les tours. « Ce n’est pas ça du tout. On aime ça. » Tout comme Elvis Presley qui en possédait un modèle. « Johnny en a eu une aussi. Mais il en a eu tellement… » Vincent Palacin, lui, n’est pas un inconnu. Avec sa DeLorean, il ne passe jamais inaperçu. « Sud Ouest » lui avait consacré un reportage il y a un an. Ce samedi, c’est au volant d’une Ferrari 348 TS de 1992 qu’il se rendra à la Tache-Verte.
S. D.
Son moteur V8 multisoupape avec la zone rouge à 8 300 tours risque de s’entendre. « Un beau bruit. Pas celui d’un pot d’échappement écrasé. Ça miaule », assure le Royannais. Sa version Targa, avec le toit qui se démonte, fera probablement des envieux. Avec cette voiture, Vincent Palacin a réalisé un rêve de gamin. « Quand on joue au circuit électrique, enfant, on veut toujours prendre la Ferrari, non ? »
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